Bien qu'étant à un bout de la migration Indo-Européenne, les Aided ("récit mortuaire") ne portent pas moins de fortes similarités avec leurs cousins Chakravanti. L'histoire troublante de l'Europe Celtique leur a laissé une petite idée de leurs origines, mais les vieux écrits Ogham restants rappelent les druides comme responsables du rituel sacrificiel de Rois. Cela était supposé garantir la procession du cycle naturel en "tuant" l'hiver, permettant aux mois de croissance d'apparaître. Les devoirs relatés impliquaient la déclaration de Geasa. Tandis que beaucoup de ces prohibitions assuraient le bien-être du peuple, la restriction de Geasa lia à la rédemption les rois orgueilleux et les héros furent de même touché. Ceci devait apporter l'humilité ou détruire ceux qui essayaient de tricher avec les devoirs de la Roue.
Avec la croissance de Rome, les Chakravanti eurent une idée de l'éxistence de leur contrepartie Celtique. Le Sirdar Rustam suivit les rumeurs et trouva les Aided dans les Iles Britanniques. Les Conteurs Mortuaires pouvaient toujours pratiquer ouvertement là-bas, mais ils tombèrent les premier dans la poigne de l'Eglise et de la Raison. En réponse, ils envoyèrent une prudente délégation au Premier Samashti. Leurs meneurs se cachèrent parmi la délegation et laissèrent leur apprentis parler pour eux.
A la Grande Convocation, les Aided gagnèrent une réputation d'esprit de contradiction qui les a suivit jusqu'à ce jour. L'astuce des Aided du Chardon de Pwyll éjecta les espions Nephandi et Templiers, mais rendit aussi parfaitement clair que la faction n'a pas d'amour pour les Chrétiens ou leurs suivants païens. Les Verbenas tentèrent de le recruter, pour seulement entendre que leurs Arts étaient fondé sur un mensonge. "Si les dieux se délectent de la vie", disait le Chardon, "ne vous semble t-il pas étrange qu'ils la reprennent si souvent ?" Au lieu de célébrer le puvoir des dieux et héros, les Aided préferraient méditer sur leur rédemption.
Les Aided modernes continuent d'être francs à propos de la théologie païenne, de la mort et de la nature de l'âme. La faction est au plus fort en Irelande et dans la diaspora Celtique d'Amérique du Nord, mais a peu d'intérêt dans la promotion d'un renouveau Celtique. Une partie de la raison revient à l'Ordre du Saule Noir.
Deux cent ans plus tôt, les Aided permirent à un mouvement populaire appelé l'Ordre du Saule Noir de promouvoir leurs enseignements parmi la petite noblesse Anglaise. Malheureusement, l'Ordre fut tenté par la richesse (la plupart d'entre eux étaient de pauvres Irlandais) et la décadence de leur nouvel environnement. Ils abandonnèrent la doctrine Aided pour une éthique égoïste de leur propre devise. L'infernalisme rampant qui vint infester leurs rangs les transformèrent en fourrage pour la Grue de la Mort Aided; l'expérience n'a pas été répétée. Composé avec le rejet des Aided des valeurs conventionnelles païennes, ceci a fait du recrutement et de l'apprentissage Aided un prudent et secret processus.
Les Corriguinech ("grues de la mort") sont les Tueurs Aided. De nombreux suivent le Morrigu : la Triple Déesse Celtique de la guerre et de la mort. Leur nom vient d'un sort utilisé par le dieu Lugh pour puiser la force martiale de l'Outremonde. Cette "magie de grue" est la réserve de la secte, combinant les malédictions poétiques, le combat au corps à corps et le "Pillage de Fianna". Ce dernier est conçu avec des outils qui, à côté de leurs aspects pratiques, représentent les trésors de dieux. Ils incluent traditionellement un couteau sacré à Manannan le dieu maritime, des ossements représentant le prix de la mort pour le père de Lugh et un crochet en fer consacré à Goibniu (qui agit comme un crochet qui maintient ou une arme).
A côté de ces foci, les Grues de la Mort utilisent la rage pour accroître leurs capacités physiques et cannaliser la Triple Déesse. Lorsque l'opportunité leur est donnée, beaucoup prennet d'additionnels Geasa mystique sur eux. Ceci accroît leur capacités mais résulte éventuellement en leur damnation, faisant des plus dédicacés Corriguinech ceux qui ont une vie la plus courte.
Les Filidh sont les visionnaires et les sorciers pratiques. Lorsqu'ils le peuvent, ils portent un jeune bâton ou une quenouille (un bâton avec une fourche au bout) comme foci et des badges d'office. De nombreux Dormeurs qui ont été élevés dans une culture Celtique savent faire confiance au mage qui en possède un. La météorologie, la radiestésie et l'élevage animal sont les arts préférés vers lesquels s'orientent les membres ruraux de la communauté. En ville, la magie de fabrication de monnaie et les sorts de protection suivent des besoins similaires. Les Filidh surveillent les petites communautés et tendent à d'offusquer de l'interférence. Dianchecht est le patron populaire, bien qu'ils est donné un dû à Donn lorsque l'un du troupeau meurt. Dans ce cas, le Filidh surveille la tombe afin de prévenir le décédé de se lever à nouveau, un phénomène qui devient trop commun ces derniers jours.